Catégorie : Développement personnel

Se ressourcer et retrouver de l’énergie

1) Premier acte : Sortez les tongues !

Plusieurs pistes s’offrent à vous. Nous les avons toutes expérimentées. Bien évidemment, tout ne sera pas réglé. Une période de repos est propice pour se ressourcer et s’éloigner de ce qui provoque le fameux incendie. Cette distance permet en premier lieu une prise de recul.

L’urgence est de vous déconnecter : fini la lecture des mails. La connexion 24h/24 prend fin. Vous débranchez votre mental pour enfin retrouver votre vie.

Un repos de l’esprit vous est nécessaire et c’est ce que nous vous proposons. Loin du brouhaha de la vie professionnelle. Accordez-vous ces instants pour pouvoir ensuite faire face.


 2) Retrouvez une bonne hygiène de vie

Vous avez une période de repos qui s’offre à vous. Elle est favorable pour retrouver une hygiène de vie, premier pas vers un nouvel équilibre. Il serait bien de réapprendre et réintégrer un certain nombre de choses :

 Mangez sainement

Retrouvez le plaisir de manger, de partager des repas, de savourer les plats en retrouvant la stimulation de vos 5 sens :

  • Préparez des plats colorés, agréables à regarder
  • Goûtez, dégustez votre repas, retrouvez vos « madeleines de Proust » et vos aliments favoris, ceux qui vous rappellent des moments heureux.
     
Prenez soin de votre sommeil
  • Ralentissez votre rythme : Dans ces périodes difficiles, les nuits sont courtes, agitées.
  • Prenez soin de vous, en cultivant le calme, vous commencerez à retrouver une certaine quiétude.
  • Evitez les excitants tel que le café, la cigarette, l’alcool. Ce sont de faux amis !
  • Pour récupérer de la fatigue accumulée, prenez l’habitude de faire la sieste et cultivez le farniente.
  • Apprenez à ne rien faire.

Flânez pendant ces quelques jours : « ce n‘est pas suspendre le temps mais s’en accommoder sans qu’il nous bouscule ».

Prenez le temps et savourez chaque instant présent. C’est délicieux et tellement enrichissant.

« Quand on ne trouve pas son repos en soi-même, il est inutile de le chercher ailleurs. »

F. De La Rochefoucault.

3) Restez dans votre zone de confort

La zone de confort  est celle qui nous procure le meilleur épanouissement, le milieu idéal, confortable, sécurisant. Il nous donne la possibilité de nous ressourcer, de nous sécuriser,
de nous reposer parfois pour faire une pause.

En période de difficultés, de faiblesse,de fatigue, c’est l’endroit à investir pour se préserver.

Action, sport, contacts, solitude, farniente… À vous de choisir votre façon de vous ressourcer !

Il est temps de recharger les batteries, de se laisser aller.

  • Dans un premier temps, dirigez-vous vers votre zone de confort pendant quelques jours.
  • Aucune violence à votre égard : vos plaisirs, vos facilités, comment aimez-vous vous reposer. Certains se ressourcent dans l’action, le sport, les contacts, la solitude, dans le farniente. À vous de choisir.
  • En tout cas, donnez-vous le temps de prendre soin de vous, de rêver à votre façon.

Ensuite les batteries commencent à se recharger. Vous pouvez commencer à sortir la tête et découvrir d’autres choses, sortir un premier pied de ce cercle de confort et explorer d’autres possibilités que ce temps libre vous permet.


4) Savourez l’instant présent

« Les Hommes perdent la santé pour accumuler de l’argent,ensuite ils perdent de l’argent pour retrouver la santé. Et à penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte qu’ils finissent par non-vivre ni le présent, ni le futur. Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir… Et meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu. » Le Dalaï Lama.

Pour investir l’instant présent et vivre consciemment :

  • Observez : vivez consciemment avec vos 5 sens ; regardez, écoutez, sentez, ressentez, touchez.
  • Respirez consciemment : premier clef d’accès au calme. Cette respiration consciente est un temps de rappel à soi. Dans votre journée, créez cet espace de vie. Prenez conscience de votre respiration, concentrez-vous sur l’inspiration et l’expiration. Sentez l’énergie vitale en vous. Prenez conscience de votre corps et des sensations et détendez-vous. Ne profitez que de l’instant.
  • Engagez-vous à créer, chaque jour, une occasion de savourer l’instant présent.

5) Cultivez la joie et la pensée positive

Tout d’abord, si nous voulons être dans l’instant présent dans les meilleures conditions, il est important de prêter attention aux aspects positifs et à toutes les informations positives.

« Le négatif, c’est comme un moustique ! Il est très petit par rapport à la taille, mais on ne voit et n’entend que lui » Josiane de Saint-Paul.

Dans ces périodes d’épuisement professionnel, le positif est écarté totalement de la vie. Prenez l’habitude de :

  • Listez ce qui est positif autour de vous.
  • Faites un bilan positif de votre journée.
  • Apprenez à utiliser un vocabulaire positif et reformulez, si tel n’est pas le cas.
  • En cas de difficultés face à une situation : reconnaissez votre difficulté et ensuite changez votre représentation de la situation en ayant toujours à l’esprit la possibilité de progresser. Trouvez des solutions.
  • Regardez le verre à moitié plein, plutôt qu’à moitié vide. Vous pouvez aussi appliquer la théorie du petit pas : un pas après l‘autre.
  • Souriez ! Pour les spécialistes des neurosciences : « Il existe dans le cerveau un système réservé aux sentiments positifs. Activé en permanence, il permet d’être plus souvent optimiste que pessimiste et d’avoir une vision positive de la vie ». Dès le réveil souriez à cette nouvelle journée qui se présente à vous. Pour en savoir plus lisez Le sourire

6) Une Histoire à méditer : Le Roi déprimé et le sage

Une vieille histoire soufie raconte qu’un roi vivait jadis dans son riche royaume, mais il était déchiré entre le bonheur et le découragement. La moindre petite chose le contrariait beaucoup ou provoquait chez lui une réaction vive et sa félicité se transformait en déception et en désespoir. Vint un temps où le roi en eut finalement assez de lui-même et de la vie. Il envoya quérir un sage qui vivait dans son royaume et qu’on disait illuminé.

Lorsque le sage arriva à la cour, le roi lui dit : « Je veux être comme toi. Peux-tu me donner quelque chose qui m‘apportera l’équilibre, la sérénité, la sagesse et l’estime de soi. Je suis prêt à payer n’importe quel prix.

Le sage répondit au roi : « Je peux peut-être vous aider, mais le prix à payer est si grand que votre royaume tout entier n’y suffirait pas. Par conséquent, ce sera un cadeau que je vous ferai si vous voulez bien l’honorer.

Le roi lui donna sa parole et le sage partit.

Quelques semaines plus tard, le vieux sage revint et tendit un coffret en jade sculpté au roi. Après avoir ouvert le coffret, le roi y trouva un simple anneau d’or. A l’intérieur de l’anneau, il y avait une inscription qui disait : « Cela aussi passera. »

« Quelle est la signification de cette inscription ? », demanda le roi.

« Portez cet anneau tout le temps », lui répondit le sage. Quoiqu’il vous arrive, avant de qualifier les choses de bonnes ou mauvaises, touchez l’anneau et relisez l’inscription. Ainsi vous serez toujours en paix. »

Le Mental

Sur quelle radio êtes vous branchée

Le mental mais c’est qui, c’est quoi cette voix qui me répète en permanence « tu n’aurais pas dû, tu n’es pas capable, sois gentil… tu es nul(le)…. »
Il est appelé aussi critique intérieur, discours intérieur….Autant d’appellations pour identifier cette voix intérieure, ce discours que nous entendons dans notre tête. Nous croyons toutes les informations qu’il nous délivre, à tort. Ce sont des intoxications, des jugements, des critiques toujours négatives d’ailleurs. En quoi ces jugement sont-ils constructifs ?
De plus, nous nous branchons sur cette fréquence le plus souvent en soirée, la nuit ou au petit matin. Il est sûr d’être entendu et d’avoir toute notre attention. Il est malin et puissant.
Mais d’où vient-il ?…

Il provient d’un discours parental, familial, éducatif fait de règles parfois limitantes, même souvent, qui est intériorisé. Le critique intérieur fait siennes ces règles.

  • Ne pas être méchant.
  • Ne pas parler fort.
  • Ne pas se mettre en avant.
  • Se contenter de ce que l’on a.
  • ……….

Il a comme mission le respect de celle-ci et la protection de la personne. Pour cela, il juge nos faits et gestes avant que quiconque ne le fasse.

Reconnaître la fréquence de Radio critique

La fréquence de radio critique est négative. Le discours est critique. Rester sur cette fréquence altère l’estime de soi, la confiance. Tous les aspects de la vie, les réussites, les progrès sont passés au crible de son jugement.
Si vos émissions de radio commence par « Tu aurais dû…. » « Tu n’es pas capable de …. », Tu es nul(le)… » « Et pourquoi toi ?… » vous êtes sur Radio Critique.

Plutôt que de nous gratifier, il minimise et prend le contre-pied. Après une réussite, nous pouvons nous entendre dire « ça ne durera pas » « c’est un coup de chance, c’est pas grand chose. » vous remarquez qu’il est très créatif. Et nous le croyons. Nous adhérons à ses propos.

Si cette radio tourne en boucle, l’humeur varie, la sensibilité au stress s’accentue et l’irritabilité augmente. Un sentiment d’impuissance se développe et nous fait dire « Je ne suis pas capable », « je suis nul(le) »….

Nous nous mettons en position d’évitement, d’activité passive. Nous ruminons et nous sommes en lutte avec nous-même.

Sous une apparence de réflexion, il nous ment. Le critique est à l’œuvre, avec une production de scénarios catastrophes impressionnante : 800 000 idées noires à la minute.

Se brancher sur Radio encouragement

Nous ne pouvons entrer dans un processus de changement qu’après acceptation. Il est nécessaire de « décontaminer » vos ondes radio, de prendre conscience aussi de ses inquiétudes qui nourrissent cette voix.
Comment faire ?

  • Être à l’écoute de cette voix et de son inquiétude. L’écouter n’est pas s’y soumettre mas la reconnaître.
  • L’accepter et reconnaître son onde de fréquence.
  • Avoir une observation objective de soi : noter toutes ses pensées négatives.
  • Être prudent par rapport aux conclusions du critique, les mettre en perspective avec la réalité.
  • Demander lui ce qu’il veut, son intention positive
  • Reverbaliser positivement toutes les pensées notées.
  • Être sa ou son meilleur(e) ami(e) :
    • Qu’auriez-vous dit à votre meilleur(e) ami(e) : »Tu n’es pas capable de… », « Tu es nul(le)…. » ? !
  • Avoir de l’humour : renommer ce personnage encombrant, l’identifier et lui donner un nom humoristique. Changer le ton de sa voix. Ceci permet de prendre de la distance.

Le premier changement interviendra quand vous parviendrez à prendre du recul et que vous pourrez le nommer et reconnaître ses interventions.

Aucune amélioration n’est due à des reproches. Donc, s’il a un conseil, c’est le moment ou bien « Il sort ».

Il est notre compagnon de route mais son discernement  doit être à propos. Il est important de le mettre à son service.

« Prends soins de toi, ne te laisse pas impressionner par les alarmes intérieures qui se déclenchent à tort, par des menaces minimes ou inexistantes. Concentre toi sur les situations ; ne juge pas trop vite ce qui se passe ; ne te nuit pas ; ne te laisse pas embarquer par tes peurs ».

Christophe André

Haut les Masques vous accompagne sur ce chemin et vous aide à découvrir le masque de votre critique intérieur et d’en changer. Un coaching pour être LIBRE.

Le Sourire

 

«  Lorsque tu souris à la vie, la moitié du sourire est pour ton visage, l’autre moitié pour quelqu’un d’autre » Proverbe Tibétain.

« Le sourire ne rend pas plus intelligent mais c‘est plus agréable pour les gens qui nous regardent » !! extrait de Nikita, film de Luc Besson.

« J’ai 5 ans et un chagrin d’amour. À mon âge, c’est un peu lourd à porter. J’en ai tombé mon sourire… » Extrait de Sourire de G. Barbot

« Un homme est né pour souffrir. Il est né pour changer. Il change d’infortune ! Ami, reprends courage : Toujours un vent glacé ne souffle point l’orage. Le ciel d’un jour à l’autre est humide ou serein. Et tel pleure aujourd’hui qui sourira demain » André Chenier (Le mendiant, Idylles).

 

Période difficile de crise, de troubles divers. Il est vrai que certains jours nous n’avons pas très envie de « sourire » et pourtant nous en retirerions certains bienfaits. Et si nous nous exercions à cette expression faciale en cette fin d’année ! inversons la tendance et cultivons un peu d’optimisme, d’ouverture, de bienveillance.

Le sourire est « un langage, une manifestation extérieure de nos pensées ou du psychisme qui nous anime à un moment donné, un aspect de réceptivité.»

C’est une expression que l’on acquière dès la petite enfance par effet miroir avec l’entourage. Son apparition ne relève donc pas du hasard. Elle ne transparaît jamais sur le visage d’un enfant isolé originellement de tous liens sociaux. « L’enfant sauvage » ignore le sourire, le rire, les larmes.

Expression faciale :

Le langage des émotions est d’abord celui des expressions faciales. Le premier analyste fut un médecin français M. Duchenne de Boulogne (neurologue à la Salpetrière 1806-1875). Ce dernier a isolé le mouvement propre à chaque muscle de la face et lui a associé une émotion ou un sentiment. Le fameux sourire de Duchêne !!! Paul Ekman a repris ses travaux. Il a identifié 18 manières de sourires.

En voici quelques exemples :

  • Le pauvre sourire : air malheureux, expression de résignation.
  • Le sourire cruel : plaisir que donne la colère et la méchanceté.
  • Le sourire de « Charlot » : Il sourit à l’acte de sourire.
  • Le sourire de plaisir ou de gaieté : le plus apte à obtenir des sourires en retour. Et c’est de celui-ci dont je vous parle ici.

L’avantage du sourire sur les autres expressions : Le cerveau humain préfère les visages heureux avant tous les autres visages qui ont d’autres expressions.

Pour les spécialistes des neurosciences : « Il existe dans le cerveau un système réservé aux sentiments positifs. Activé en permanence, il permet d’être plus souvent optimiste que pessimiste et d’avoir une vision positive de la vie ».

Alors activons cette zone, Changeons nos comportements pour que nos processus de pensées changent : essayons de sourire dès le matin à soi, aux autres, à la vie.

« En me réveillant, ce matin, je souris. Vingt-quatre heures toutes neuves se tiennent devant moi. »- Thich Nhat Hanh

Quelques suggestions :

  • Cultivez le sourire dès le réveil : souriez-vous et souriez à cette nouvelle journée.
  • Souriez aux gens que vous rencontrez.
  • Exercez vous dans la journée à cette expression : une situation est difficile. Plutôt que d’avoir le visage fermé, tourmenté, crispé, détendez-vous en souriant. Cette expression vous ouvre le visage, vous rend disponible et réceptif et allègera votre journée même si vous avez des difficultés.

Sur votre lieu de travail :

  • Un manager souriant sera plus à l’écoute de ses collaborateurs, plus disponible et inspirera d’avantage confiance. Ceci n’est pas à l’encontre de la fermeté.
  • Arrivez sur votre lieu de travail en souriant même si celui-ci est difficile. Votre état d’esprit sera différent ainsi que la représentation de votre journée de travail.

 N’oublions pas que le visage exprime la part prise dans nos échanges. Donc si vous voulez communiquer, ayez une expression ouverte.

Le sourire ne règle pas toutes les problématiques, mais contribue à un mieux-être. C’est simple à appliquer. Alors essayez et Souriez, vous êtes filmés !

 Haut les Masques® entreprise souriante

Haut les Masques® peut vous aider à retrouver le sourire dans l’entreprise.

Pour sourire à la vie, Haut les Masques® vous propose un accompagnement individuel.

Sourions à la vie

Haut les Masques et la comedia del Arte

« Quand les masques tombent les surprises sont au rendez-vous »

QU’EST CE QU’UN MASQUE ?

  • « Faux visage de carton, d’étoffe… dont on se couvre la figure pour se déguiser. Figure symbolique représentant un être humain, un animal, une divinité, utilisée dans le cadre de certains rituels religieux. ».
  • « interface entre l’acteur, son rôle et le public. »
  • Le mot « personnalité » vient du latin « personae » : le masque.

L’UTILITÉ DU MASQUE ?

Avec un masque les conditions sociales, âge, sexe sont oubliés et chacun tient le rôle qu’il veut.

Chacun de nous se dissimule derrière une apparence : Notre masque sert à nous protéger vis-à-vis de ce que nous codons comme « dangereux ». Il nous dissimule, nous donne une image. Il permet également de nous adapter dans les différents environnements que nous rencontrons. Il dissimule nos faiblesses mais également nos forces ! Il est tellement efficace que nous perdons nous-même le contact avec cette part de nous la plus intime.

QUI SE CACHE DERRIÈRE LE MASQUE ?

Derrière le masque se cache l’individualité de chacun, le meilleur de soi, son pouvoir créatif, sa propre originalité ; ce qui fait que nous sommes uniques.

EN QUOI EST-CE IMPORTANT DE LEVER HAUT LES MASQUES

 → EN ENTREPRISE : Dans le domaine professionnel, il est important pour tout dirigeant de connaître le réel potentiel des futurs ou actuels collaborateurs, de cerner les points à améliorer. Tout cela dans un objectif commun : que chacun puisse apporter sa contribution à l’entreprise pour son bon fonctionnement, sa réussite et l’épanouissement de tous.

  • En recrutement : Cerner au plus près les candidats dans leur globalité et pas simplement par rapport à « un simple profil de poste» donne plus de possibilités de trouver « La Bonne Personne à la Bonne Place », comprendre que chacun des collaborateurs est bien plus que le rôle qui lui est donné.
  • En gestion de compétences et accompagnement de collaborateurs : Aller au-delà des apparences permet de communiquer sur les difficultés et trouver les solutions appropriées ; échanger sur les réussites ; évaluer et reconnaître l’évolution de chacun : Développer un Savoir Être.

Alors « Haut les Masques®» pour un recrutement, une gestion des Rh basés sur l’intégrité, la pérennité

DANS LA VIE PRIVÉE : Aller au-delà de son masque, permet de sublimer la personnalité, de prendre conscience des filtres et carapaces protectrices que chacun a mis en place au cours de son chemin de vie. C’est une évolution dans notre vie, nous ouvrons la porte ainsi à la liberté d’être soi.

Nous pouvons nous appuyer sur notre présent, ne pas anticiper les expériences négatives, être présent à soi et faire de réel choix.

« La vérité n’est jamais apeurante ! » R. DILTS.

Haut les Masques® vous accompagne dans ces différentes démarches

Il est un lieu où les masques sont de mise : VENISE.

Leur histoire remonte à fort longtemps. En 1271, il existait déjà une école de « maschereri ». En 1600, on se trouva face à un abus sur l’utilisation des masques et la République de Venise est obligée d’instaurer des règles pour en limiter l’utilisation : Une interdiction aux habitants de porter un masque en dehors des périodes de Carnaval, dans les lieux de Culte… Le masque à l’époque était utilisé comme déguisement et servait aussi à se camoufler pour faire des choses répréhensibles.

Faisons connaissance avec les Masques de la Comedia del Arte

Chaque acteur adoptant et conservant un personnage en rapport avec ses aptitudes, s’incarnait dans son rôle et, pour enrichir son discours, se faisait un fonds de traits conformes à son caractère

PANTALON : Démarche déterminée, ample, les talons claquent sur le sol. Tenue droite, voire raide. Vêtements classiques, élégants. Les contacts sont directs. Son ressenti face à son interlocuteur est immédiat, basique. L’écoute est attentive, le ton rapide et saccadé. La voix claire et forte. Concentré et rigoureux. Les émotions sont contenues ou présentes. L’autorité naturelle impressionne. Convaincant, il est fidèle à ses convictions, ses valeurs, croyances.

  • Son critère : la confiance qu’il peut accorder.
  • Sa préoccupation : l’efficacité, le résultat.

ZANI : Une démarche relâchée, un corps ouvert, des bras ballants. Son visage est ouvert, souriant, expressif. Ses yeux sont ronds et tournés vers l’extérieur. Ses vêtements sont simples, à la mode, répondant à un code vestimentaire démontrant son appartenance. Il établit des relations de proximité et discute facilement. Il est soit sage, soit occupe le terrain. Il évalue de façon intuitive son interlocuteur. Il a confiance en son ressenti. Simple, joyeux, de bonne humeur. Réalise, prend en charge, se mobilise.

DOTTORE : le pouvoir intellectuel. Discret, son observation est tranquille. Sa présence est indéniable et légère. Sa peau est claire, son corps mince. Ses vêtements sont classiques et personnels. Sa voix est douce et hésitante. Solitaire, il est silencieux et rêveur. Ses émotions sont filtrées et non exprimées. Effacé, résigné, discret. Bienveillant et patient dans ses relations. Flegmatique. Oriente ses réflexions en fonction du système.

PULCINELLA : Sa démarche est féline, son corps relâché. Ses yeux sont perçants. Les gestes sont petits et doux. Il se met en valeur avec discrétion. Il s’intéresse aux autres. Il est attentif tout en étant dissocié. Délicat, patient, il est habile dans ses relations. Il ne se livre pas. Cultive la relation, la solitude, la différence. « Le vrai pouvoir est pour celui qui a l’information ».

ARLECCHINO : Son regard intense est mobile et curieux. Il parle rapidement. Son visage est mobile. Son corps est androgyne, mince. Ses vêtements sont cintrés et originaux. Il est imprévisible, variable, ne tient pas en place et fait 1 000 choses en même temps. Son critère : l’originalité. Spontané, candide, enthousiaste, pense, agit différemment.

CAPITANO : Sa présence est fière, inspire l’assurance. Il est avenant et les contacts sont faciles. Il marche à grands pas, ses gestes sont enveloppants et généreux. Il aime les couleurs vives. Il défend ses convictions et arguments avec une voix forte, des gestes de ses mains et ses émotions viennent de ses « tripes. Tranché, s’oppose, provoque. Rebondit toujours.

TARTAGLIA :Ses pas sont courts, Il est sobre et classique. Vêtements confortables. Souvent dans ses pensées et réflexions. S’investit. Est expert dans son domaine. Calme. Patient, a le souci du détail. Il anticipe, maîtrise, analyse, corrige, solutionne. Responsable.

Vous et votre masque

    • Quel masque portez-vous ?
    • Quel est celui qui vous repousse ? celui qui vous attire ?
    • Quel est celui que vous aimeriez porter ?
    • Qu’est ce que ça dit sur vous ?
    • Quel est le masque que vous porter en tant que Manager ?
    • Quels sont les masques de vos collaborateurs ?
    • Quel est le masque qui manque dans votre équipe ?

Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén